Rencontre
d’Auteurs de Théâtre
à Paris samedi 20 mars 2010- 20h30
avec René de Obaldia
Ecrivain de
théâtre, poète,
Chevalier de la Légion d'honneur,
Officier de l'ordre national du Mérite,
Croix de guerre,
Commandeur des Arts et des Lettres,
Commandeur de l’ordre de Balboa (Panama),
Grand-croix Manuel Amador Guerrero (Panama)
Entrée libre - Réservations : 06.62.3
Lecture
théâtralisée, interview, débat avec le public.
Entrée libre - Réservations : 06.62.34.40.65 ou marie.lestanc@club-internet.fr
Crypte Notre-Dame de La Croix – entrée : 4,
rue d’Eupatoria – 75020 ParisMétro : Ménilmontant
(ligne 2) – Bus 96 (stations Julien Lacroix ou Henri Chevreau)
Rencontre
d'auteurs de théâtre
René de Obaldia à Paris Ménilmontant - Crypte
Notre Dame de la Croix
samedi
20 mars 2010 - 20h30
Dramaturge, romancier, mémorialiste et poète, toujours
satiriste, René de Obaldia, à la fois polygraphe et
polyglotte, est " l'homme du monde par excellence " (Jean
Orizet). Il est aussi, depuis quelque 50 ans, l'auteur de théâtre
français le plus joué sur la planète. Et l'auteur
le plus international (traduit en 28 langues).
René de Obaldia a remporté de nombreux prix, dont
le Grand Prix du Théâtre de l'Académie française
(1985), deux Molières, le Prix des Cinq Continents destiné
à récompenser un écrivain francophone...
René de Obaldia a rejoint l'Académie française
en 1999 au fauteuil de Julien Green, où il a été
reçu en juin 2002 par Bertrand Poirot-Delpech.
" Un parcours picaresque, une oeuvre protéiforme, l'amour
du théâtre, le culte malicieux de l'alexandrin : c'est
ce magicien-là qui a succédé à Julien
Green à l'Académie française " (Josyane
Savigneau, Le monde, 2/11/01).
Ce qui frappe chez lui, c'est une facilité d'écriture
étonnante. Les pièces d'Obaldia se déroulent
toujours dans un cadre emprunté au monde actuel et sur des
sujets modernes. La valeur comique de ses uvres ne fait aucun
doute. Son théâtre invite le spectateur dans un autre
monde que celui de la vie ordinaire. Dans Génousie par exemple,
l'auteur remplace la langage ordinaire, le français, par
le génousien, qui est aussi le langage de la fantaisie, du
rêve et de l'amour. Il joue avec la langue pour en décomposer
les saveurs, à travers des jeux de mots, l'imitation des
parlers les plus divers. Sans limite, il enchaîne les rapports
de personnages et les situations abracadabrants, avec toujours un
fond de tendresse.
" La marque propre de René de Obaldia est l'humour cocasse
" T. Morimoto
" Le rire, c'est vivre, ou du moins tenter d'exister "
R. de Obaldia.
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Biographie
Né le 22 octobre 1918 à Hong-Kong d'un père
panaméen (José Clemente de Obaldia), alors consul
du Panama dans cette ancienne colonie britannique, et d'une mère
française (Madeleine Peuvrel). Élevé en France
dès son plus jeune âge. Études au lycée
Condorcet. Mobilisé en 1940, quand survient la Seconde Guerre
mondiale. Fait prisonnier, il est envoyé dans un camp, le
Stalag VIII C-en Pologne (Silésie). Rapatrié comme
grand malade au Val-de-Grâce en 1944. Il collaborera à
de nombreuses revues littéraires avant de publier, en 1952,
Les Richesses naturelles, suite de " récits éclairs"
dont la singularité attire sur lui l'attention de la critique.
Secrétaire général au Centre culturel international
de Royaumont de 1952 à 1954. Puis, après un court
passage comme directeur littéraire aux Éditions Pierre
Horay, Obaldia publie son premier roman Tamerlan des curs
(1956). Suivront deux récits: Fugue à Waterloo et
La Passion d'Émile (1956,Grand Prix de l'Humour noir) et
un second roman, Le Centenaire, " épopée de la
mémoire" (1960, Prix Combat).
C'est peu après que commence sa carrière dramatique
grâce à Jean Vilar qui donne au T.N.P. Génousie,
" comédie onirique ". Beaucoup d'autres pièces,
parmi lesquelles Sept Impromptus à loisir, Le Général
inconnu, Monsieur Klebs et Rozalie, Du vent dans les branches de
sassafras (où Michel Simon fit une rentrée fracassante),
La Baby-sitter, Les Bons Bourgeois, assureront à Obaldia
une audience internationale.
De nombreux prix ont couronné la carrière de René
de Obaldia. Parmi ceux-ci: Prix de la Critique dramatique pour Génousie
(1960), Grand Prix du Disque de l'Académie Charles Cros,
Éditions Ades. Textes dits par Madeleine Renaud et Michel
Bouquet (1978), Grand Prix du Théâtre de l'Académie
française (1985), Grand Prix de la Poésie de la SACEM
pour Les Innocentines (1988), Grand Prix de la Société
des Auteurs dramatiques (1989), Grand Prix de la Littérature
décerné par la Ville de Paris (1991), Prix du Pen
Club français (1992), Molière d'honneur et Molière
du meilleur auteur (1993), Prix Marcel Proust et Prix Novembre pour
son livre de mémoires: Exobiographie (1993), Prix de la langue
de France (1996).
Médaille éditée par la Monnaie de Paris à
son effigie
(1997). Élu à l'Académie française le
24 juin 1999, au fauteuil de Julien Green (22e fauteuil).
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Eduardo
Manet à Carhaix pour la 3ème Nuit des auteurs en Bretagne
Samedi
3 octobre à 20h30 au Cinédix
Déroulement de la soirée
- présentation de l'auteur qui nous parlera de sa vie et
de son oeuvre;
- lecture-mise en espace d'extraits de ses pièces;
- débat avec le public;
- verre de l'amitié.
" Le jour où je suis né, la terre a tremblé
à Santiago de Cuba. C'est du moins ce que soutenait ma mère.
Fallait-il la croire ? Le fait est que j'eus droit, au cours de
ma petite enfance, à diverses versions de cette naissance
héroïque"... Ainsi commencent ces Années
Cuba, texte inclassable qui pourrait être l'autobiographie
d'Eduardo Manet. Tout y est vrai, mais tout semble légendaire,
tant ces pages sont folles et joyeuses... Un père avocat,
d'origine espagnole, qui enlève une adolescente sur son cheval
blanc ; une nourrice haïtienne qui rassure le petit Eduardo
en le serrant contre ses seins, à la nuit tombée ;
des amis catholiques et marxistes, qui détestent Franco,
se disputent, se réconcilient autour d'un poste à
galène ; la passion de l'écriture, qui emporte Eduardo
à quinze ans. Puis le théâtre, le cinéma
et... la politique. " Compañero " des révolutionnaires
cubains, Eduardo Manet nous offre ici un portrait féroce
mais tendre du " marxisme tropical ". Par la suite, il
voyagera dans tout le bloc soviétique, dont il révèle
la vitalité morbide et drôle... Dans la grande tradition
sud-américaine, Eduardo Manet se raconte avec sensualité,
exaltation, jusqu'à la France de 1968 - mais c'est une autre
histoire...
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Écrivain et réalisateur, Eduardo Manet
est né à Cuba en 1930. Il a fait ses études
à l'Université de La Havane où il a participé
à des débats politiques et a rencontré des
figures marquantes la vie culturelle et politique cubaine. Il
a séjourné quelques années aux États-Unis,
en Italie, mais surtout en France, avant de revenir à Cuba
en 1960. Pendant huit ans, il a réalisé des films,
collaboré à de nombreuses revues et dirigé
l'Ensemble dramatique national. En 1968, devant la censure et
la décision de Fidel Castro d'appuyer l'intervention armée
russe à Prague, il a choisi de quitter le pays et de s'installer
en France, où la version française de sa pièce
interdite, "Les nonnes", a été jouée.
Il a poursuivi son uvre de romancier et de dramaturge en
français et a obtenu officiellement la nationalité
française en 1979.
Il est longtemps le compagnon de route des révolutionnaires
cubains, qu'il suit dans les situations les plus improbables,
du lycée de La Havane jusqu'à New York, des théâtres
militants aux chambres du Ritz.. Essayiste, critique d'art et
narrateur, il est diplômé en Histoire de l'Art et
en Civilisation et Littérature hispano américaines.
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8ème
Rencontre d’Auteurs de Théâtre
samedi 14 mars 2009 à 20h30
Carhaix : salle Cinédix avec
Jean Larriaga,
écrivain de théâtre,
auteur-réalisateur de cinéma et de télévision
Vice-président radio à la SACD
Je suis né à Paris en 1945. Mes parents tenaient
une boulangerie - pâtisserie près de la Madeleine.
J'ai donc énormément livré de baguettes, de
croissants et de brioches dans tous les cafés à la
ronde.Après un bac philo, je suis devenu monteur au cinéma,
puis assistant metteur en scène à la Gaumont.
En 1968, j'ai co-écrit un scénario de film d'horreur,
La Rose écorchée avec Anny Duperrey.
En fait, j'ai toujours eu le besoin d'écrire des histoires.
Mon premier scénario policier La Part des lions m'a permis
de passer à la mise en scène en 1971. (Avec Robert
Hossein, Charles Aznavour, Raymond Pellegrin, etc.). Ce fut un succès
« commercial ». Puis j'ai pu réaliser et écrire
un second policier plus personnel : Un Officier de police sans importance
(1972) avec Charles Denner, Robert Hossein, Nicole Courcel, Marc
Porel, etc. Malheureusement, ce film que j'aime beaucoup n'a pas
marché. Cet échec a été aggravé
par le fait que j'ai bifurqué vers ce qui m'est le plus naturel,
la comédie de caractères. J'ai donc pu tourner en
tant qu'auteur - réalisateur trois comédies dans la
collection Cinéma 16 pour FR3 : Le Rabat-joie (1977), avec
Claude Piéplu et Jacques Villeret, Le Château-faible
(1982), avec Charles Denner et Leslie Caron, Adieu Don Juan (1989),
avec Julien Guiomar et Victor Haïm.
Entre temps, j'ai travaillé comme scénariste sur des
comédies TV (Mamie by night, La Vacance).
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Parallèlement, le virus du théâtre
m'a saisi ... par le biais de la radio.
J'ai envoyé par la poste (j'ai toujours agi ainsi) un texte
à France Culture, Voleur c'est vite dit ... puis d'autres,
écrits soit pour la radio, soit pour la scène.
C'est ainsi que L'Extra a été créé
sur France Culture le 21 juin 1987, puis créé sur
scène à Tours en septembre 1988, et joué
en tournée par Théâtre Actuel Dans toute la
France. En août 1989, la pièce a été
reprise au Tristan Bernard pour 100 représentations.
Rue de la Paix, encore sous le choc, la pièce, lauréate
du Concours de l'Acte de Metz, y est créée en novembre
1988 par le Théâtre des Capucins (Luxembourg).
Décor naturel est créée sur France Culture
en 1988, et Morceaux choisis en 1995.
Je suis un « touche à tout », mais qui touche
avec une grande rigueur et un désir de surprendre. L'étiquette
de « touche à tout » est très lourde
à porter, synonyme de « bricoleur », mais tant
pis !
En résumé, je crois que j'écris parce que
dans la boulangerie de mes parents qui était comme un théâtre
ouvert sur un quartier, j'ai emmagasiné très tôt
une foule d'observations sur les gens et un quotidien que j'ai
envie de faire décoller ».
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Revue
de presse des précédentes éditions
5ème
rencontre d'auteurs de Théâtre
samedi 24 mars à 20h30 à Carhaix - au Cinédix
La cinquième " Rencontre d'Auteurs de Théâtre
" de l'ADEC-FNCTA 29, Comité Départemental du
Finistère de la Fédération Nationale des Compagnies
de Théâtre et d'Animation, aura lieu le samedi 24 mars
à 20h30 au Cinédix de Carhaix avec, comme invité,
Victor Haïm, écrivain, Molière 2003 du meilleur
auteur francophone vivant, Grand Prix 2003 de Théâtre
de l'Académie Française.
Sa carrière d'auteur dramatique débute en 1963 avec
la rencontre de Pierre Valde qui crée La Peau du Carnassier.
Suivront alors régulièrement des pièces jouées
dans près de vingt pays et traduites dans une quinzaine de
langues, parmi lesquelles : Mourir en chantant, La Peau d'un fruit,
La Servante, Abraham et Samuel, Comment harponner le requin, La
Visite, Accordez vos violons, Les Fantasmes du boucher, Isaac et
la Sage-Femme, Le Rire de David, La Valse du hasard, Belle Famille,
Chair Amour etc. Les éditions de l'Avant-Scène lui
apporte un soutien actif en publiant la majorité de ses pièces
dans sa revue puis dans sa collection des Quatre-vents. Il est édité
également à Théâtre Ouvert et chez Actes
Sud.
Parallèlement, il est professeur d'art dramatique de 1983
à 1991, d'abord au Théâtre de l'Ombre (1986-87)
puis à l'Ecole Florent (1988-91) et est également
intervenant à l'École régionale d'acteurs de
Cannes en 1992 et 1993 et au département Culture et Communication
à l'université d'Evry en 94.
Depuis une dizaine d'années, il exerce les fonctions de secrétaire
au Centre français du théâtre dépendant
de l'UNESCO.
Avant de débattre avec le public, il lira des extraits de
sa dernière pièce: "Furieux".
Entrée libre.
"Chacune de ses pièces est un combat singulier, un duel
serré, où tous les coups sont permis. Duel physique,
verbal, presque dialectique."
Georges Lerminier
haut
de page
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Théâtre
15 pour moi !
Abraham et Samuel (1973)
Accordez vos violons (1981)
Au Fil de l'onde
Belle famille (1983)
Chair Amour (1993)
Comment harponner le requin (1974)
De Toulouse à Bordeaux
Double Tour
Elzevir (1966)
Femme debout (1993)
Isaac et la Sage-Femme (1976)
L'Abîme (1974)
L'Appel
L'Arme blanche (1967)
L'Escalade (1980)
La Baignoire (1979)
La Chaloupe (1982)
La Femme qui frappe (1976)
La Peau d'un fruit (1971)
La Peau du carnassier (1963)
La Scène (1999)
La Servante (1976)
La Valse du hasard (1986)
La Visite (1975)
Le Grand Invité (1988)
Le Magicien de Saratoga (1980)
Le Ménate ne répond plus (1990 - 1992)
Le Rire de David (1989)
Le Traitement
Le Trou (1996)
Le Vampire suce toujours deux fois (1996)
Les Aigles (1980)
Les Fantasmes du boucher (1985)
Les Femmes de Dieu (1981)
Mon violoncelle pour un cheval (1967 - 1968)
Mourir en chantant (1960 - 1966)
Qui a tué le Général ? (1973)
Renata, Josepha et les hommes (1994)
Sphères
Velouté (1995)
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Revue
de presse des précédentes éditions
4ème
rencontre d'auteurs de Théâtre - samedi 9 décembre
Carhaix- Le Cinédix - 20h30
La quatrième « Rencontre d’Auteurs de
Théâtre » de l’ADEC-FNCTA 29, Comité
Départemental du Finistère de la Fédération
Nationale des Compagnies de Théâtre et d’Animation,
aura lieu à Carhaix, au Cinédix, le samedi 9 décembre,
avec comme invité Jean-Paul Alègre, écrivain,
Président des Ecrivains Associés du Théâtre,
Chevalier dans l'ordre des Arts et Lettres, Prix Emile Augier de
l'Académie Française.
A cette occasion
des extraits de son texte « Lettres croisées»
seront lus par des comédiens, pour lancer la discussion avec
le public.
Entrée libre.
Après Marc Dugowson, premier « Grand prix de la littérature
dramatique », Elie Pressman, Susana Lastreto et Christian
Rullier ce sera donc le cinquième écrivain qui viendra
découvrir le public carhaisien dans le cadre des «
Rencontres d’auteurs de théâtre ».
Renseignements : Pierre-Marie Quesseveur au 02 98 93 93 51 –
mail: adec29@free.fr -
site: adec29.free.fr
Jean-Paul Alègre
Il passe son
enfance entre la région parisienne et le pays basque où
il a des attaches familiales. Grand joueur de pelote basque au grand
chistera, cette passion sportive rivalise longtemps avec celle du
théâtre.
Deux événements
majeurs déterminent sa carrière théâtrale
: la découverte des techniques du théâtre américain
lors d'une bourse d'étude d'un an aux Etats-Unis, et la rencontre
avec Ariane Mnouchkine et le Théâtre du Soleil avec
lesquels il participe à l'aventure de 1789 et 1793.
Il fonde sa propre compagnie, Le Théâtre du Fil d'Ariane,
en 1970. Sa mise en scène de La Fête en Plein Air de
Vaclav Havel (première création en France) lui vaut
un succès national. C'est pour sa troupe qu'il devient auteur
dramatique.
Il est depuis
plusieurs saisons, et d'après les statistiques de la Fédération
Nationale des
haut
de page
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Compagnies de
Théâtre et d'Animation FNCTA), un des auteurs vivants
les plus joués en France. Il est traduit dans une vingtaine
de langues (anglais, japonais, russe, arabe moderne, grec, espagnol,
etc.) et présent dans plus de trente pays.
Toutes ses pièces
sont éditées aux Éditions de l'Avant-Scène
et chez Lansman Éditeur.
Il a reçu le Prix de Lyon des Auteurs de Théâtre
pour Lettres Croisées, en 2003, et l'Académie Française
lui a attribué le Prix Emile Augier, destiné à
récompenser une œuvre dramatique, pour Agnès
Belladone, en 2004.
Nombre de ses
textes sont repris dans les livres scolaires et il fait l'objet
de plusieurs études universitaires.
Jean-Paul Alègre
s'implique par ailleurs dans la vie théâtrale, puisqu'il
est Président du Centre des bords de Marne, vaste complexe
culturel de l'est parisien. Il a été élu président
des EAT (Ecrivains Associés du Théâtre) en juin
2006.
Jean-Paul Alègre
est chevalier dans l'ordre des Arts et Lettres. |
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